Visiteur N° 

   

Créée le, 24/07/2001

Mise à jour le, 08/07/2019

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Réponses au test N° 1

1 - La loi fondamentale de l'électrostatique s'énonce de la manière suivante : Les charges de signes contraires s'attirent tandis que les charges de même signe se repoussent.

2 - La molécule est la plus petite quantité d'une substance pouvant exister sans que cette substance ne perde ses caractéristiques propres.

3 - Les charges possédées par les protons sont positives «+», et celles possédées par les électrons sont négatives «-».

4 - La loi relative aux forces s'exerçant entre deux pôles magnétiques s'énonce de la façon suivante : Deux pôles de même nature se repoussent tandis que deux pôles de nature différente s'attirent.

5 - Un champ magnétique est une partie de l'espace dans laquelle se manifestent des actions magnétiques.

6 - Les matériaux dont les atomes ont une orbite externe très incomplète sont conducteurs.

7 - Dans un conducteur solide, le courant électrique est constitué par un déplacement d'électrons, alors que dans un liquide, il est constitué par un déplacement d'ions.

8 - Les ions négatifs s'appellent aussi anions parce qu'ils se dirigent vers l'anode et les ions positifs sont aussi appelés cations parce qu'ils se dirigent vers la cathode.

9 - Le sens conventionnel du courant électrique est l'inverse du déplacement des électrons, il s'oriente du «+» vers le «-».

10 - L'intensité du courant électrique dans un conducteur est donnée par la quantité d'électricité qui, à chaque seconde, passe à travers la section de ce conducteur. Son unité est l'ampère et son symbole I.


Réponses au test N° 2

1 - Le potentiel et la tension se mesure en Volt.

2 - Les quatre éléments essentiels d'une pile sont : les deux électrodes réalisées en matériaux différents, la solution électrolytique et la substance dépolarisante.

3 - La résistance électrique d'un conducteur est l'obstacle offert par ce conducteur au passage du courant électrique.

4 - La résistance d'un conducteur se calcule en multipliant la résistivité du matériau utilisé, par la longueur du conducteur et en divisant par sa section. R = (p x l) / S.

5 - Par conductance électrique, on entend l'aptitude d'un conducteur à conduire plus ou moins bien le courant électrique.

6 - Les unités de mesure de la résistivité et de la conductivité sont respectivement l'ohmmètre et le siemens / mètre.

7 - Les trois formes de la loi d'Ohm s'énoncent de la manière suivante :

a)  La résistance s'obtient en divisant la tension par le courant :  R = V / I

b)  La tension s'obtient en multipliant le courant par la résistance V = R x I

c)  Le courant s'obtient en divisant la tension par la résistance :  I = V / R

8 - Les liaisons en série présentent la caractéristique spécifique d'avoir tous les éléments parcourus par le même courant, tandis que les liaisons en parallèle, il y a la même tension aux bornes de chaque élément.

9 - La f.e.m. (force électromotrice) d'une pile est la tension présente entre ses électrodes quand la pile ne débite aucun courant.

10 - L'association de piles en série permet d'obtenir une f.e.m. égale à la somme des f.e.m. de chaque pile.

11 - La puissance électrique peut se calculer de trois façons :

a)  En multipliant la tension par le courant P = V x I

b)  En multipliant la résistance par le carré du courant P = R x I2

c)  En divisant le carré de la tension par la résistance P = V2 / R

12 - L'énergie consommée par un appareil électrique fonctionnant pendant un temps déterminé s'obtient en multipliant sa puissance exprimée en watt par le temps en seconde. Cette énergie s'exprime en en joule.

13 - La calorie est l'unité de mesure de la quantité de chaleur et se définit comme étant la quantité de chaleur nécessaire pour élever la température de un gramme d'eau de 1°C.

14 - La quantité de chaleur en calories se calcule en multipliant par 0,238 l'énergie consommée en joule pour la produire.

15 - Outre la valeur résistive, une résistance électrique est caractérisée par la puissance maximale qu'elle est en mesure de dissiper sans être endommagée.


Réponses au test N° 3

1 - La capacité électrique d'un corps indique la quantité d'électricité qu'il doit posséder pour atteindre le potentiel de 1 volt.

2 - La constante diélectrique relative à l'air ou au vide indique de combien de fois la capacité d'un condensateur à air augmente si l'on introduit entre ses armatures un diélectrique autre que l'air. Son symbole est er, et elle ne possède pas d'unité.

3 - La propriété première d'un condensateur est d'emmagasiner l'énergie électrique et, pour cette raison, il est appelé : élément conservateur.

4 - Seulement la moitié de l'énergie qu'une pile fournit pour charger un condensateur est emmagasinée par celui-ci.

5 - L'énergie emmagasinée par un condensateur se calcule en multipliant la capacité par le carré de la tension présente à ses bornes et en divisant le résultat par 2 :  Wc = (C x V2) / 2

6 - La moitié de l'énergie qui n'est pas emmagasinée par un condensateur se dissipe (se transformant en chaleur) à l'intérieur de la pile, en raison de sa résistance interne.

7 - On dit qu'il y a champ électrique dans une zone déterminée, quand une charge électrique placée dans cette zone est soumise à une force de nature électrique.

8 - L'intensité du champ électrique existant dans le diélectrique d'un condensateur se calcule en divisant la tension entre les armatures par la distance qui les sépare.

9 - La tension de service d'un condensateur indique la tension qu'il ne faut pas dépasser pendant son fonctionnement afin de ne pas provoquer la destruction par claquage, de son diélectrique.

10 - La capacité équivalente de plusieurs condensateurs reliés en parallèle s'obtient en additionnant la capacité de chaque condensateur.

11 - La capacité équivalente de plusieurs condensateurs reliés en série s'obtient en appliquant la formule :

H19

12 - La formule de deux condensateurs reliés en série est :

Formule_Ceq


Réponses au test N° 4

1 - L'effet magnétique du courant électrique consiste en la production d'un champ magnétique autour de tout conducteur traversé par ce courant électrique.

2 - La force magnétomotrice est le produit du nombre de spires par le courant électrique qui les traverse f.m.m. = N x I

3 - Le flux d'induction est constitué de l'ensemble des lignes d'induction.

4 - L'inductance d'une bobine s'obtient en divisant le flux embrassé par ses spires, par le courant qui les parcourt.

L = F / I

5 - Le pouvoir magnétique des matériaux est déterminé par leur perméabilité magnétique absolue µ.

6 - L'inductance d'une bobine est fonction de quatre paramètres :

L = µ x (N2 x S) / l


Réponses au test N° 5

1 - Nous pouvons induire une f.e.m. dans une spire en faisant varier le flux d'induction embrassé par cette spire.

2 - La valeur de la f.e.m. induite dépend, non seulement de la variation du flux embrassé mais aussi du temps que dure cette variation.

3 - La loi de LENZ s'énonce de la façon suivante : le courant induit a un sens tel, qu'il s'oppose à la cause qui lui a donné naissance.

4 - L'induction mutuelle est un phénomène électromagnétique qui se manifeste entre deux circuits distincts, tandis que l'auto-induction est un phénomène d'induction électromagnétique qui se manifeste dans un circuit unique.

5 - Dans le cas d'une bobine, la loi de NEUMANN s'énonce de la façon suivante : La f.e.m. d'auto-induction s'obtient en multipliant l'inductance par la variation du courant et en divisant ce produit par le temps que dure cette variation :

E = (L x DELTA I)  / DELTA t

6 - L'inductance équivalente à deux ou plusieurs bobines reliées en série s'obtient en additionnant les inductances de chaque bobine.

7 - L'inductance équivalente de plusieurs bobines reliées en parallèle est donnée par la formule :

E22 

8 -  L'énergie électrique emmagasinée par une bobine se calcule en multipliant l'inductance de la bobine par le carré du courant et en divisant par 2 le produit obtenu.

WL = (L x I2) / 2


Réponses au test N° 6

1 - La différence entre le courant alternatif et le courant continu est la suivante

2 - Un courant alternatif produit par un flux inducteur tournant a une allure sinusoïdale.

3 - La représentation graphique d'un courant alternatif sert à indiquer l'intensité prise par le courant à chaque instant.

4 - La période d'un courant alternatif est le temps mis par ce courant pour accomplir un cycle complet.

5 - La fréquence d'un courant alternatif indique le nombre de cycles complets accomplis par ce courant en une seconde. L'unité de la fréquence est le hertz.

6 - La période d'un courant alternatif s'obtient en prenant l'inverse de la fréquence.

T = 1 / F

7 - La valeur efficace d'un courant alternatif est l'intensité d'un courant continu qui produirait dans la même résistance la même quantité de chaleur que ce courant alternatif.

La valeur efficace d'un courant alternatif est liée à sa valeur maximale par la relation :

G11


Réponses au test N° 7

1 - Pour la tension alternative, on indique généralement la valeur efficace.

2 - Dans un circuit capacitif, il ne peut pas circuler de courant continu.

3 - Le courant alternatif qui circule dans un circuit capacitif est dû aux charges et décharges successives du condensateur. (Le courant alternatif ne traverse jamais dans un condensateur à cause du diélectrique et il bloque tout passage du courant continu).

4 - Dans un circuit capacitif, le courant est déphasé en avance d'un quart de période sur la tension.

5 - Par angle de déphasage, on entend l'angle compris entre les deux vecteurs qui représentent la tension et le courant.

6 - La réactance capacitive (Xc) est la résistance offerte par un condensateur au courant ; elle se calcule au moyen de la formule :

  Xc

7 - Dans un circuit inductif, la tension est déphasée en avance sur le courant.

8 - La pulsation (w) d'une grandeur alternative est le produit de la constante 2 x p par la fréquence F :  w = 2 x p x F    

9 - La réactance inductive (XL) se calcule au moyen de la formule XL = 2 x p x F x L = w x L

10 - L'unité de mesure de la réactance capacitive et inductive est l'ohm (W)


Réponses au test N° 8

1 - L'obstacle qui s'oppose au passage du courant est l'impédance.

2 - La valeur de l'impédance (Z) est donnée par la relation :  

Calcul_impedance

3 - L'impédance se mesure en ohms.

4 - Les formes de noyaux fermés couramment utilisées sont celles des types «à colonne» et «cuirassé».

5 - On dit qu'un noyau ferromagnétique est plus perméable que l'air aux lignes d'induction parce qu'elles le traversent plus facilement.

6 - Le flux de dispersion représente l'ensemble des lignes d'induction qui «échappent» au noyau ferromagnétique et qui se referment à travers l'air.

7 - Un circuit magnétique est constitué par un enroulement autour d'un noyau ferromagnétique.

8 - La réluctance magnétique indique le nombre d'ampères-tours nécessaires pour obtenir un flux d'induction d'un Wb dans le noyau :  (Wb = Weber).

9 - Elle se calcule en divisant la longueur du noyau par sa section et par la perméabilité absolue du matériau ferromagnétique.

10 - Le noyau est saturé quand le flux d'induction n'augmente plus, alors que la f.m.m. continue à croître.


Réponses au test N° 9

1 - Les deux enroulements d'un transformateur s'appellent primaire et secondaire.

2 - Un transformateur fonctionne à vide quand son secondaire est ouvert.

3 - Un transformateur ne peut pas fonctionner avec le courant continu, il ne fonctionne qu'avec le courant alternatif.

4 - Le rapport de transformation d'un transformateur s'obtient en divisant la tension secondaire par la tension primaire.

5 - Le rapport de transformation est égal au nombre de spires secondaires, divisé par le nombre de spires primaires.

6 - Par primaire universel, on entend un primaire muni de prises adaptées à toutes les valeurs possibles de la tension du réseau.

7 - Le courant de charge d'un transformateur est le courant fourni à la charge par le secondaire.

8 - Le noyau des transformateurs est formé de petites tôles isolées entre elles, pour réduire les pertes de puissance dues aux courants de FOUCAULT.

9 - L'induction est le flux qui traverse chaque centimètre carré de la section d'un noyau ferromagnétique.

10 - L'autotransformateur est surtout plus avantageux que le transformateur quand son rapport de transformation est proche de 1.


Réponses au test N° 10

1 - Le fonctionnement d'un galvanomètre est dû à l'effet magnétique.

2 - Le calibre d'un appareil de mesure est la valeur maximale qu'il peut mesurer.

3 - La résistance interne d'un galvanomètre est la résistance présentée par le conducteur constituant la bobine mobile.

4 - Pour mesurer le courant qui circule dans un circuit, on relie le galvanomètre en série avec le circuit.

5 - Pour doubler le calibre d'un galvanomètre, pour la mesure du courant, on doit lui relier en parallèle un shunt dont la résistance est égale à la résistance interne du galvanomètre.

6 - Pour mesurer la tension aux extrémités d'une résistance, on relie le voltmètre en parallèle sur cette résistance.

7 - La valeur que l'on doit donner à la résistance additionnelle d'un voltmètre s'obtient en divisant la tension maximale que l'on veut mesurer par le courant de fin d'échelle de l'appareil et en soustrayant du résultat obtenu sa résistance interne.

Rad = (Vmax / I) - r

8 - Le zéro se trouve à l'extrémité droite du cadran de l'ohmmètre.


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Daniel



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